S’il se trouve bien un truc qui me les brise, c’est quand la science est mise au service de causes fumeuses dont au sujet desquelles je fus enfermé pour moins que ça. Aussi quand j’entends parler de physique quantique appliquée à la psychologie, je et ma praticienne pouffons.
Une théorie rencontrée sur la blogosphère voudrait que dans des univers parallèles nous vivions les vies que nos choix nous ont évité de subir. C’est pas tout à fait ça mais ma mauvaise foi n’a d’égale que ma jalousie envers la maîtrise littéraire de l’autrice de l’article.
Oubliant mon aversion pour la polémique, je me suis empressé de laisser un commentaire pour la prévenir du danger de charlatanisme que représente ce genre de discours. La réponse fût aimable mais cinglante : « c’est un exercice d’écriture ».
Bravo captain tu as encore prouvé que tu avais la rhétorique d’un Zemmour quand il parle d’écologie alors tu vas prendre ton petit clavier, ta page word blanche et tu vas te coller à la rédaction d’un billet sur le thème. Ensuite tu rentreras chez ta môman elle t’as préparé le goûter.
Il s’agit donc de savoir si, quelque part dans un multivers, un moi, voir des mois (non captain on n’ajoute pas voir des semaines, c’est pas drôle) existeraient sans se soucier de la réussite de mes suicides sociaux et de l’échec de mes suicides physiques.
- L’ingénieur avorté.
Du côté de Saturne , un grand consultant achève un plan de restructuration. Il est heureux. Il possède une belle voiture, des actions chez Total, quatre enfants, une chienne et une femme.
2. Le marin décadant.
Sur la ceinture d’Orion, je me suis retrouvé navigant sur le bateau des autres et dans le lit des belles (des autres également). Mais le métier a changé, je ne suis plus que le valet d’un richissime homme d’affaires qui passe son temps en télétravail à bord.
3. Le maître de port incompétent.
Alors celui là, il a été satellisé hors de portée des radio-téléscopes les plus puissants. Une preuve probable que le néant existe aussi.
4. L’âme en devenir.
C’est là où je voulais en venir : et si j’avais réussi ?. Que je ne sois plus qu’un esprit désespérément accroché à son corps comme une moule à son rocher mais un peu partout et nulle part à la fois. Un peu jamais un peu tout le temps.
En attendant, je suis bien d’ici et par tous les chemins j’y reviens.
Mon dieu qu’elle est nulle cette dernière phrase. On dirait du Sardou, je vais la refaire.
En attendant, J’ai tout mon ménage et ma mise en page à faire,

Bravo !!!
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Tu me fileras ton numéro à l’occas car Isa ne semble pas décidée à me le donner 😉
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C’est Cyril?
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merci
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