Pendons.

La psychette :     Bien. La dernière scéance fut un peu dure. Peux tu me narrer un événement heureux de ta carrière ?

Demoral :           La fois où j’ai troussé la fille du Boss ?

La psychette :     Sans aller jusqu’à cette extrême, juste un Episode    joyeux.

Demoral :         Episode précisément. An 2002 avant Demoral, Grèce occidentale. Le Boss repère que je ne lâche jamais mon poste et, un soir, alors qu’après trois semaines de mouillages houleux j’ai trouvé un lac pour ma barque, m’ordonne de prendre du     repos.

La psychette :     Bene.

Demoral :          

Son invitée qui, j’exagère un peu, n’est pas sa fille sans ça il aurait été incestueux se propose de                    m’accompagner.

La psychette :     Quelle belle marque de reconnaissance, tu devais être content.

Demoral :           Ha Bah la reconnaissance j’y ai goûté dans les bois au-dessus du château au dessus de la baie où                                   reposait le bateau.

La psychette :     Mais c’est amoral !

Demoral :           Ben oui, et puis nous avons répété l’expérience à chaque occasion jusque la fin de la croisière. .

La psychette :     Tu ferais l’amour à n’importe qui n’importe quand !

Demoral :           Je ne me fixe effectivement que peu de limites. D’ailleurs il a l’air confortable votre divan.

La psychette :     Enchaine sur quelque chose de plus voie du milieu.

Demoral :           Ma vision du féminisme ?

La psychette :     Te sens tu capable de rester modéré ?

Demoral :           Pas de problème, c’est très clair dans ma tête obscurcie.   

La psychette :     Spiega.

Demoral :

         J’ai le Démon. Une femme, c’est inscrit dans mon ADN, c’est pas tant pour la sauter mais faut que je la séduise. Par n’importe quel moyen. Toutes mes hôtesses et cuisinières ont eu à subir une de mes attaques. Leur réponse était presque invariablement le récit d’une violence sexuelle ou d’un abus conjugal. Ca calme les ardeurs.

La psychette :     Et tu arrêtais de les ennuyer ?

Demoral :  Ben oui, je me transformais en vous.

La psychette :     Brava!

Demoral : 

Pas nécessairement, la thérapie du marin ne se passe pas dans un cabinet insipide mais dans des tavernes sordides. En fin de soirée, c’était à mon tour de lutter contre l’envie dévorante qu’a la femelle de se reproduire. Et comme je viens de vous le démontrer, je n’oppose que peu de résistance à la jouissance.

La psychette :    

On se revoit dans vingt huit jours.    

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